Etape 17 et épilogue : de matin bonne heure nous prenons le TER en direction de Langogne via les magnifiques gorges de l’Allier (dès lors qu’il ne faut pas suivre la trace à vélo …). Arrivée à Langogne nous achetons une bouteille de bonnes bulles et rejoignons la maison de nos amis pour fêter dignement la fin de notre (beau) périple.
Etape 16 : comme prévu, la montée par le GR du château est infernale, gros poussage. Ensuite la trace Haute-Loire est agréable, nous la quittons au Bouchet-St-Nicolas pour prendre une trace perso qui va nous ramener au Pont D’Alleyras avec son camping magnifiquement sympathique et son bistrot de la Gare non moins accueillant. Superbe descente sur Alleyras par un long single en balcon.
Etape 15 : direction des hautes gorges de la Loire et le château de Goudet. Très belle étape avec une vue sur le Mont-Gerbier-de-Jonc ( !), le Mont Mézenc en toile de fond, le détour au pied de la Roche Tourte (escalade), le petit et le grand Suc, le râteau magistral du Moulin du Rocher (orgues basaltiques et impasse à vélo) et enfin la descente belle et engagée sur Goudet.
Etape 14 : avec le crux de la rando, l’ascension du Mont-Mézenc avec nos vélos. Très belle étape pour laquelle nous avons renoncé au détour par les sources de la Loire (trop long) et opté pour cette magnifique ascension. La montée dans les contreforts du Mézenc (sur le GR après Chanal) fut pour le moins sportif (poussages-portages). Arrivés de bonne heure aux Estables, nous avons patienté jusqu’à l’ouverture du gîte avec de bonnes bières de récup (Kwak) et une petite sieste dans la prairie.
Etape 13 : étape « de récup » pourtant entrecoupée de quelques poussages. Beaux sentiers à l’approche de La Tortue, puis les panoramas de Haute-Loire se découvrent avec la chaine du Mézenc au loin. Arrivée de bonne heure à Fay ce qui nous permet un passage au sympathique bistrot-épicerie dont nous repartons les bras chargés de victuailles alléchantes …
Etape 12 : belle nuit dans notre tente « coloniale », puis une étape pas toujours facile avec les spécialités locales du tracé du tour de Haute-Loire : les chemins (avec moultes rochers cachés) rendus aveugles par l’abondance de végétation d’une part et le concept de trace dans les torrents avec leur lot de caillasses et de pentes marquées.
En revanche début des panoramas grandioses.
Etape 11 : après une nuit bienfaitrice et le soleil retrouvé, nous nous trompons dès le début et ratons la montée vers st-Bonnet-le-Froid, que nous ne verrons pas. Au lieu de cela nous arrivons sur une petite route ou des criminels se testent en vrai pour la course de côte du WE alors que cette route reste ouverte au public ! Après avoir cassé quelques signalisations de cette course, nous prenons un GR vraiment « inrouable » pour finir par retrouver la trace Haute-Loire.
Etape 10 : longue étape débutée sous la menace des orages et terminée sous le déluge et la froidure, St-Bonnet méritant son nom ! Pas d'ascension du Grand Felletin (1387m) pour cause d'intempéries, dommage. Un bon gros jardinage multiple à Riotord car nous n'avions pas compris que la voie ferrée ... était une voie verte qu'il fallait emprunter !
Etape 9. Encore beaucoup de modifications du tracé Haute-Loire : avant Aurec-sur-Loire (routes) et pour la montée vers St-Didier. Détour à St-Didier pour acheter une chambre à air et du lubrifiant. La montée sur route vers St-Didier fut laborieuse et longuette ...
Heureusement une bonne surprise nous attend ...
Huitième étape, sur la trace Haute-Loire avec des simplifications par des petites routes tranquilles. Un bon jardinage en sortie de Malbost, nous n'avons jamais trouvé la trace et nous nous sommes engagés dans une prairie pentue en espérant ne pas voir de gros bestiaux ... Camping de Bas-en-Basset un peu hallucinant.
